Passerelle Debilly, entre le 7e et le 16e (construction 1900).

La ville a lancé le 29 janvier dernier l’Atelier Seine qui a pour objet de réfléchir aux usages du fleuve et aux projets urbains qui lui sont liés. Les débats, assez généraux lors de cette séance, feront l’objet de Groupes de travail mensuels qui permettront la rédaction d’un Livre blanc à l’automne. Les associations attendent une réponse claire concernant l’abandon des projets de ”Passerelles habitées” et de construction d’immeubles sur les quais hauts de la Seine, ”Place Mazas” et sur le ”parvis de la Maison de Radio France”. Pour l’instant rien n’a été acté dans ce sens. Tout porte à croire que ces projets risquent de ressurgir.

Bernard Landau
La Seine n’est pas à vendre